Stop à la nouvelle obligation vaccinale
Suite au projet de loi visant à étendre l'obligation vaccinale à 11 vaccins qui sera mise en place à compter du 1er janvier 2018, Isabelle Adjani a décidé de dénoncer les conflits d'intérêts liés à la vente de vaccins :
"Bien sur, l'aluminium est un toxique qui ne devrait pas exister comme adjuvant dans les vaccins mais ce qui me frappe c'est d'entendre le professeur Alain Fisher, président du Comité de vaccination, omettre de préciser qu'il est en lien étroit avec le laboratoire Sanofi dont il a reçu en 2013 le prix Sanofi-Pasteur par exemple, tout comme le ministre de la santé Agnès Buzyn qui, elle, était au conseil d'administration (board) de deux laboratoires très impliqués dans les vaccins, Novartis et Bristol-Myers Squibb (moi aussi j'ai mes fiches, désolée) de 2009 à 2011.
Je voudrais comprendre comment des gens qui ont un intérêt, on va dire d'ordre financier, dans ces décisions peuvent intervenir comme des boucliers humains qui protègent notre santé."
Elle dénonce également les dangers d'une vaccination massive des enfants :
"Parce qu'un nourrisson n'a pas son système immunitaire suffisamment développé pour pouvoir lutter contre l'inoculation de 11 maladies. Parce que qu'est-ce que c'est un vaccin ? C'est une maladie qu'on vous inocule. Comment va-t-il lutter contre ces 11 maladies ? Pour moi, c'est vraiment une façon de détériorer pour ne pas dire de détruire l'éclat biologique d'un être dès sa naissance. Il s'agit d'un mensonge scientifique qui joue sur la peur des gens et moi j'ai vraiment décidé dans ce domaine de ne pas avoir peur."