Contribuer à la sobriété en partageant sa voiture
Depuis 18 mois, Christine partage sa voiture avec une amie. Elle n'en ont besoin, chacune, que ponctuellement. L'idée lui est venue de partager sa voiture lorsque cette amie lui a dit qu'elle avait besoin d'un véhicule.
Elles en ont discuté ensemble, et se sont rendue compte qu'avec un minimum d'organisation et de confiance, il était tout à fait possible de mettre en place un planning hebdomadaire qui soit satisfaisant pour toutes les deux.
«Il m'a tout de suite semblé intéressant de ne pas monopoliser un véhicule pour soi. C'est moins de gaspillage, et je suis contente que ça rende service.»