Un punk au pouvoir à Reykjavik, capitale de l'Islande
"De 2010 à 2014, Reykjavík a vécu une expérience unique en son genre : avec son maire, Jón Gnarr ancien comédien et des artistes se disant anarcho-surréalistes, totalement novices en politique, la capitale de l’Islande allait être administrée… avec succès !"
Tout au long de sa mandature, Gnarr a mis en pratique les convictions qu’il a toujours revendiquées dans son parti, fondé à la hâte en 2009 : justice sociale, égalitarisme avec les individus et respect de l’environnement (Vivre en Islande).
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Côté finance, elles ont été assainies. Explication d’un (ir)responsable du parti : "En tant qu’artistes, on avait l’habitude de travailler avec de petits budgets, ça nous a aidés". CQFD.
"Ils ont également tenu quelques discours réussis, construit plusieurs dizaines de kilomètres de pistes cyclables, conçu un plan d’urbanisme, réorganisé les écoles, développé les petits ateliers d’art et fait de la capitale une ville agréable à vivre et en plein essor. Le tourisme a enregistré une croissance de 20 % . Le prix de l’immobilier recommence à grimper, des hôtels sortent de terre un peu partout, les costumes ne sont toujours pas revenus à la mode mais on voit beaucoup plus de Range Rover dans les rues".
Par la rédaction du site Autre future.net en lien ci contre.